La douleur

La douleur varie d’une personne à l’autre. La douleur peut être différente pour vous ou, par exemple pour votre partenaire même pour une pareille cause (se cogner le genou, les maux de tête, soulever un sac trop lourd).

La douleur peut être un signe de dommages (j’ai coupé mon doigt). L’intensité de la douleur est également déterminée par votre façon de vivre, votre environnement. D’autres facteurs tels la dépression ou l’anxiété peuvent aggraver les douleurs.

Vous souffrez plus si la douleur est cause de restrictions. Ce n’est agréable pour personne, ni confortable. Votre douleur ne peut être mesurée comme par exemple la fièvre. Plusieurs facteurs composent la douleur qui peuvent en déterminer le degré d’intensité et c’est pourquoi mesurer votre douleur n’est pas simple.

Les influences de votre environnement, de votre famille, de votre travail, de votre relation, de vos amis, déterminent comment vous ressentez la douleur et à quel degré.

La douleur peut être aiguë ou chronique. Vous la ressentez comme une tension, une déchirure, un coup de poignard, un rayonnement, une pression ? La douleur chronique affecte la qualité de votre vie. L’anxiété et la dépression sont cause de douleurs. Cela vous rend insécure, à son tour cela vous rend peureux, inquiet, déprimé. Ceci conduit à une aggravation de votre douleur. Baucoup de patients est dit qu’ils doivent « apprendre à vivre » avec cette douleur omniprésente. Pas vraiment une joyeuse perspective ! Autrefois, L’idée reçue dictait que la douleur ne devient chronique qu’après plusieurs mois. La recherche a démontré que déjà après quelques heures le changement se produit dans le cerveau. Après quelques jours la douleur est devenue chronique.

La douleur neuropathique est un type de douleur chronique dont la cause n’a pas encore été retracée. La douleur neuropathique ne répond généralement pas aux analgésiques ordinaires et les médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens.

Les victimes de guerre ou d’accidents de la route souffrent souvent de la douleur du membre fantôme. Cette douleur fantôme est décrit comme une expérience de la douleur imaginaire mais elle est aussi réelle malgré le fait que la partie du corps douloureuse est amputée. Fréquemment des peersonnes se plaignent de douleurs pour lesquelles après de multiples tests et examens médicaux aucune cause peut être détectée.

Qu’est la douleur ? La douleur est un signal d’alarme. La douleur a toujours une cause. La cause peut être externe, un poêle chaud. Le signal d’alarme vous prévient et puis vous retirez votre main de ce poêle. Cependant nous observons de plus en plus des causes internes et pas si facile à détecter. Si vous ne connaissez pas ou que vous ne trouvez pas la cause et que vous éteignez tout simplement l’alarme (prendre un analgésique), l’alarme retenit à nouveau après un court délai. Logique, tant que le feu n’est pas éteint, l’alarme se redéclenche.

Si vous ne recherchez pas la cause mais voyez la douleur (l’alarme) comme une maladie en soi, il ne vous reste plus qu’à anesthésier de plus en plus fort jusqu’à ce que vous avez ramené votre alarme au niveau d’anesthésie absolu. Pendant ce temps, la cause continue à proliférer dans votre système.

 

Ce qui est nécessaire, c’est une aide à un niveau plus profond pour traiter ces plaintes et pour ce l’utilisation de techniques thérapeutiques craniosacrées s’avère être un traitement excellent. Pendant le traitement CST le stress et les tensions contenues dans les muscles et dans les fascia, le tissu conjonctif, sont éliminés pour créer l’espace et permettre le processus d’auto-guérison, inconsciemment, inexplicable, sous-cutanée.

La thérapie consiste à faire bouger doucement des membranes, des tissus et des os. Ce mouvement subtil permet la détente. Les adhérences internes lâchent et les articulations raidies s’assouplissent. Le flux reprend. Les symptômes douleureux disparaissent et cela se passe d’une manière beaucoup plus fondamental qu’avec d’autres méthodes souvent mieux connus. Les techniques CST agissent non seulement comme traitement des symptômes mais surtout comme une amélioration complète, précieuse et permanente.

Il n’y a aucune raison pour continuer à vivre dans la douleur. La douleur est une raison pour détecter la cause ensemble au mieux de notre capacité et à y remédier.

 

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