Les enfants

Q. Quel genre de problèmes avec les enfants peuvent être remédiés avec les techniques thérapeutiques crâniosacrées?

R. Il s’agit là d’une question totale, très étendue. Quelques réponses peuvent être données basée sur l’expérience.

  1. Les allergies:      a. la respiration – les techniques thérapeutiques craniosacrées peuvent aider surtout en combinaison avec les décharges somato-émotionnelles (SER).     b. la nutrition – les techniques therapeutiques craniosacrées marquent des résultats en détectant et en facilitant l’auto-correction de problèmes structurelles dans le crâne. Il peut y avoir d’autres causes d’allergies alimentaires qui ne sont pas nécessairement influencées par les techniques thérapeutiques craniosacrées.
  2. Les problèmes de coliques, digestifs et de transit intestinal sont dans 75 % des cas corrigés par des techniques thérapeutiques crânio-sacrées, sauf s’ils sont le résultat de tumeurs ou d’autres graves problèmes pathologiques.
  3. Les problèmes psychologiques – les techniques thérapeutiques crâniosacrées aident le thérapeute à créer rapidement une relation de confiance avec l’enfant. De cette façon, les problèmes émotionnels peuvent être découverts. En revanche, plusieurs problèmes “psychologiques” disparaissent dès qu’un problème crâniosacré a été corrigé. Ces problèmes n’avaient aucune cause émotionnelle. Bien qu’ils s’avéraient être psychologiques, ils étaient le résultat d’un dysfonctionnement du système crâniosacré.
  4. Les enfants hyperactifs sont traités très efficacement avec les techniques thérapeutiques crâniosacrées si le problème n’est pas d’origine émotionnelle. La pratique montre qu’environ 50 à 60 pour cent des problèmes avec les enfants hyperactifs ont leur origine dans le système crâniosacré.
  5. Troubles d’apprentissage et dyslexie – tout comme avec les enfants hyperactifs le traitement est très efficace si la cause du problème se trouve dans le système crâniosacré.
  6. Le syndrome de Down – il s’agit là de cas très difficile. Ce que je peux dire à l’heure actuelle, c’est que les enfa
    nts atteints du syndrome de down qui y ont été traités sont heureux à la sensation et vont souvent mieux que prévu.
  7. Handicapé mental – comment l’enfant retardé mentalement répond au traitement avec les techniques thérapeutiques craniosacrées dépend de la cause de l’incapacité. Dans certains cas les résultats positifs sont remarquables. Dans d’autres cas, les enfants sont en meilleur santé le traitement, sans avoir à être « plus doués ».
  8. Paralysie cérébrale – l’expérience jusqu’à aujourd’hui concernent les cas de spasticité. Ces enfants vont tous mieux, certains de façon tout à fait remarquable, d’autres progressent un peu. Ici encore cela dépend de la cause de la paralysie. Parfois, la spasticité diminue mais l’enfant reste avec une paralysie flasque. La relaxation est plus confortable que la spasticité, c’est une amélioration.
  9. Crise d’épilepsie– La réaction de l’enfant en proie à des convulsions est directement liée à la cause qui a provoqué les crises. Beaucoup d’enfants sont complètement guérit sans médicament alors qu’ils étaient traités avec des techniques thérapeutiques crâniosacrées. Certains enfants dont l’état a une cause plus profonde dans les troubles du cerveau, ne réagissent pas. La majorité a moins de crises, quelques uns plus aucune, et ont pu passer à une médication à dose réduite.
  10. L’autisme – À la fin des années ’70 a débuté la recherche intensive auprès d’enfants autistes. Des améliorations significatives sont constatées dans le comportement lié à l’autodestruction, à montrert l’affection et autour des relations sociales. Ces améliorations vont se dégrader dans les trois à six mois après que les traitements avec des techniques thérapeutiques crâniosacrées sont abandonnées. Il s’agit là d’une occasion idéal pour les parents d’apprendre un minimum de techniques thérapeutiques craniosacrées pour aider leur enfant. Les recherches se poursuivent toujours aijourd’hui.

Q. Les techniques thérapeutiques craniosacrées peuvent-elles présenter un avantage pour un enfant en bonne santé?

R. Les techniques thérapeutiques craniosacrées forment aujourd’hui l’un des traitements des plus puissants et des plus efficaces au support de la santé. La réponse est donc franchement, oui.

Q. Le bruit court que les techniques thérapeutiques craniosacrées puevent être utilisées en cas de maladies d’enfance telles la rougeole, les oreillons, la varicelle, etc..

 

R. L’expérience montre que les techniques thérapeutiques crâniosacrées peuvent être utilisées pour parer efficacement la fièvre et pour aider l’enfant à traversé la crise dans la plupart de ces cas. Le système immunitaire est renforcé et le système nerveux autonome est mobilisé afin que le corps puisse utiliser ses défenses au mieux.

Q. Qu’en est-il de la scoliose?

R. Dans certains cas la cause de la scoliose se trouve dan le système crânio-sacré. Habituellement, le tube de matériel de membrane de la dure-mère allant vers le bas de la colonne vertébrale a une déformation qui peut être détectée.déjà à très jeune age. L’épine dorsale résiste à la torsion le plus longtemps possible, mais parfois, dans la période prépubère ou en début de l’adolescence, la colonne vertébrale cède et se torsionne avec la dure-mère. C’est le début de la scoliose. Si cela est constaté suffisamment tôt, elle peut être corrigée avec des techniques thérapeutiques crâniosacrées et la scoliose disparaît graduellement.

Q. Comment fonctionne un traitement avec des techniques thérapeutiques crâniosacrées en cas d’orthodontie?

R. Très, très bien. Fréquemment cela permet de raccourcir le traitement orthodontique, quelquefois même le rendre redondant. Une proposition à considérer est de d’abord traiter tous les enfants avec les techniques thérapeutiques craniosacrées avant d’entamer un parcours de correction orthodontique.

Q. L’enfant souffrant de strabisme, peut-il être aidé?

R. Si le problème est du à une tension dans la dure-mère qui affecte lesrfs optiques, alors les résultats sont extraordinaires et de grande envergure. Pour beaucoup d’enfants le traitement a rendu superflue une intervention chirurgicale.

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